Cid, Vis, le sioux



Courez pauvres ritals à la station service
Ferrari, Fiat, Alfa, faîtes le plein fissa
Voici venir le grand le cruel Cid le Vice
Quand il sera là, être partis il faudra

Ce fameux et fier guerrier sioux unijambiste
Délaissant son pistol pour un gros tournevis
A tous les vilains transalpins qui résistent
Par son pilon d'acier, prodigu'ra moult sévices

Chipapoum...




Je vous présente mon Chipapoum
c'est mon playmo singe à moi
il a perdu sa jambe en faisant boum
et ce n'est pas un custom à la noix
il a remis ses belles bretelles
et à sorti son pistole à laser
Chipapoum fait pas dans la dentelle
son repas préféré: le toast au camembert.

Oyez brâves soldats, Miss'carole sort de sa pagode,
Chaussée de Sally Mass, son fidèle gastéropode



Salut mes amis ! Moi c'est Miss Scarole, suite à un accident en mangeant une endive périmée, j'ai perdu un pied, c'est pas l'pied! je me suis fait greffer une limace qui a pour nom Sally Mass.
Pour la petite histoire, je suis l'arrière arrière arrière arrière petite nièce du Duc DUDUQUE de la BATAVIA.
Mon arme, le robinet-lance-bave paralysante.

Bonjour, je suis VENT-HOUSE et je me présente aux élections du leader de la L.U.T.T.E.

Mr. Stilo Bill

je vais faire couler beaucoup d'encre!..............................................................................................................................




Je me présente, Bill, Stilo Bill que tous m'appellent.
L'année dernière, la jambe gauche je me suis coupé,
Avec ma faux de collection signée Channel
Une prothèse styloïdiforme me fut gréffée.

Pauvre j'étais, je ne pus prendre l'option "bouchon".
C'était à la trace que tout le monde me suivait.
Je cambriola une banque et pris le pognon!
La police suivait mes traces, et me poursuivait.

J'eu le temps de cacher une partie de l'argent
Mais la police arriva et vite m'arrêta.
De la prison je sortis au bout de 1 an,
Et enfin l'argent caché je récupéra.

Je fus m'acheter un chien porteur de blanco
Pour effacer mes traces en cas de filature.
Ensuite, je rejoignis la LUTTE, à Mexico,
Je porte à la Présidence ma candidature.

Votez utile, Votez Moi, Votez Bill Stilo!
Je reléverai la LUTTE de la crise, cocos!
J'augmenterai les salaires de tous les plus beaux!
Et les Italiens, nous jetterons à l'eau!


Ps: aussi n'oublier pas de voter pour moi aux élections Européennes!
Je me présente aussi!.
Mes influences politiques : un peu de gauche, un peu de droite, un peu de tout droit... et pof! ça fait des chocapic!
J'élèverai ainsi tous les facteurs au rang de divinité!

Je me présente, Noémie Traille, candidate à la L.U.T.T.E.!



Dans une bataille sanglante ma jambe je perdis
Mais jamais mon instinct de guerre ne disparaitra
Alors traversons les Alpes vers les terres d'Italie
Et ensemble nous chanterons "Aux Armes, etc..."

Bonjour, je suis Ivan Tile,




à devenir votre leader j'aspire,

afin que l'Italie nous envahissions,

car telle est notre mission,

avant que ça ne soit pire.




J'ai revetu mon habit rouge

c'est la couleur du sang,

car il faut que ça bouge,

et pas pour faire du flan.




Le premier rital qui bouge,

je le bute,

ça va être tout rouge,

car c'est la L.U.T.T.E. …

Moi , Crocodile Dundee , allias l'androide me présente à l'éléction pour la L.U.T.T.E

Quand j'étais braconnier ,un alligator m'attrapa et ma jambe et mon bras je perdis
Sur place on n'avait à me greffer que mon fusil
Je viens tout droit d'Australie
Pour à votre tête conquérir l'Italie !

Voici : Il Nonno ! Ancien dessinateur, il a été victime d'un accident de dessin qui lui a arraché une jambe (c'est depuis qu'il a mauvaise mine), depuis, il a remplacé sa jambe par une plume, et n'hésite jamais, avec, à monter en première ligne. Prenez garde car cette dernière affutée comme un rasoir est une arme terrible ! Il Nonno, est le chef qu'il vous faut : Aussi agents de la leg faction, ralliez vous à son panach... à son chevrolet bleu !

Gnap Gnap Le Machouillé, c'est ainsi qu'on me nomme
Et si vous m'élisez, ferai de vous des hommes.

Bien avant ce matin, dans mon bac plein de sable,
Un tout petit rital me croqua un arpion.
Et malgré les bons soins d'un docteur vénérable
La terrible gangrène n'en laissa qu'un moignon.

Depuis ce jour funeste, je piste sans répis
Cet Italien vorace qui me prit pour repas.
Devenu Président, il se croit à l'abri,
Mais cet hurlu-Berlu ne m'échappera pas.

Au delà des montagnes, au Sud-Est nous irons,
Et dès le point du jour, à Pavie nous serons.
Une fois balayé ce temple du moustique,
Nous ferons la tournée des villes touristiques.

De Florence la Belle n'épargnons que les pierres
Que Michel Ange jadis teinta de sa lumière.
Des gondoliers hautains hâtisons la rancune
Et pourfendons les fous qui hantent la lagune.

Ecroulons l'édifie qui à Pise pendouille
Puis mettons cap au Sud pour achever leur trouille.
Du pays du picrate et du soleil brûlant
Nous reviendrons vainqueurs et le glaive chantant.

Gnap Gnap Le Machouillé, c'est ainsi qu'on me nomme
Et si pour moi votez, serez les Rois de Rome.

Golé comme un légo

Jambe de bois,j’abois pas
Dans ma jambe de bois
Je bois ,je bois
De ma jambe pas en bois
Dans un verre a pied
Pas en bois C’est pas le pied
Mais on le vois pas

Lego du bois

Ps cliquer sur limage si vous la boyez pas

[img=https://2img.net/r/ihimizer/img198/209/001ipf.jpg]
https://2img.net/r/ihimizer/img198/209/001ipf.jpg

a écrit:

Hors délais"

Arrrrggg, je bataille depuis 1/2 heure avec mon ordi pour la photo... problème
Je posterai pas avant 22h tout rond, certainement 10 mn trop tard... c'est grave ???

La Tirade du Pied



Ah ! Non ! C'est un peu court, jeune homme !

On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme...

En variant le ton, —par exemple, tenez :

Agressif : « moi, monsieur, si je n'avais pas de pied,

Il faudrait que je m'en fasse greffer sur le champ ! »

Amical : « mais ce malheur doit être facilement salissant :
Voulez-vous de la cire et un petit chiffon ! »

Descriptif : « c'est un bâton ! ... c'est une branche... c'est un tronc !

Que dis-je, un tronc ? ... c'est un mât ! »

Curieux : « à quoi vous sert donc ce bizarre tibia ?

De tuteur, monsieur, où de fût à canon ? »

Gracieux : « aimez-vous à ce point les chatons

Que paternellement vous vous préoccupâtes

De donner un grattoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « ça, monsieur, lorsque vous jardinerez,

Prenez garde de ne pas verser d'engrais !

Sans qu'il faille ensuite élaguer cet attribut ! »

Prévenant : « gardez-vous de cette jambe pointue

Par votre poids de rester dans le sol planté ! »

Tendre : « faites-la donc faire un peu ciselée

Que cette colonne devienne corinthienne ! »
Pédant : « la créature seule, monsieur, que JRR Tolkien

Appelle Fangorn-Treebeard-Sylvebarde

Dut avoir sur la jambe tant de bois et d'échardes ! »

Cavalier : « quoi, l'ami, ce piquet est à la mode ?

Pour courir un 100 mètres, ça doit être fort commode ! »

Emphatique : « aucun courant ne peut, quille magistrale,

Faire dévier le cap de ton amiral ! »

Dramatique : « c'est un boulet pour qui se baigne ! »

Admiratif : « pour un charpentier, quelle aubaine ! »

Respectueux : « souffrez, monsieur, qu'on vous salue,

Si par l'oubli , c'est un coup d'pied au c u l ! »

Campagnard : « hé, ardé ! C'est-y un pied ? Nanain !

C'est queuqu'carotte géante ou ben queuqu'arbre nain ! »

Militaire : « sortez les matraques, les gourdins, l'artillerie »

Pratique : « voulez-vous le mettre en loterie ?

Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »

Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :

« Voilà donc cette jambe qui des traits de son maître

A détruit l'harmonie ! Il en bourgeonne, le traître ! »
—Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit

Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :

Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,

Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres

Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !

Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut

Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,

Me servir toutes ces folles plaisanteries,

Que vous n'en eussiez pas articulé le quart

De la moitié du commencement d'une, car

Je me les sers moi-même, avec assez de verve,

Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.