jour J, Jean Pax Méfret
Au grand matin du mois de juin,
Julien préparait le troupeau ;
Dans la cuisine, Marie-Martine
Venait d’allumer les fourneaux.
La vieille Louise était assise,
Elle réchaufait ses pauvres mains.
Lorsque dans Sainte-Mère-Eglise
Sont entrés les Américains.
Ils sont tombés du ciel
Comme s’ils avaient des ailes,
Ils apportaient un air de liberté.
Ils venaient de Virginie,
D’Oklahoma, du Tennesse,
Le jour le plus long les attendait ici.
Les Ecossais se distinguaient
Marchant au son des cornemuses,
Dans les marais, les SAS anglais,
Progressaient souvent par la ruse.
Et les balises, dans la nuit grise,
Regroupaient tous les Canadiens,
Tandis qu’à Sainte-Mère-Eglise,
Avançaient les américains.
Ils sont tombés du ciel
Comme s’ils avaient des ailes,
lls apportaient un air de liberté.
Ils venaient de Géorgie,
De l’Iowa, du Kentucky
Le jour le plus long les attendait ici.
Soldats des armées alliées
Tous unis pour nous délivrer,
Sur la Normandie,
Se levait le Jour J.
La vieille Louise était assise,
Elle réchaufait ses pauvres mains.
Lorsque dans Sainte-Mère-Eglise
Sont entrés les Américains.
Ils sont tombés du ciel
Comme s’ils avaient des ailes,
Ils apportaient un air de liberté.
Soldats des armées alliées
Tous unis pour nous délivrer.
Sur la Normandie,
Faut jamais oublier...
Qu’un jour à Sainte-Mère-Eglise,
Sont entrés les Américains !
Au grand matin du mois de juin,
Julien préparait le troupeau ;
Dans la cuisine, Marie-Martine
Venait d’allumer les fourneaux.
La vieille Louise était assise,
Elle réchaufait ses pauvres mains.
Lorsque dans Sainte-Mère-Eglise
Sont entrés les Américains.
Ils sont tombés du ciel
Comme s’ils avaient des ailes,
Ils apportaient un air de liberté.
Ils venaient de Virginie,
D’Oklahoma, du Tennesse,
Le jour le plus long les attendait ici.
Les Ecossais se distinguaient
Marchant au son des cornemuses,
Dans les marais, les SAS anglais,
Progressaient souvent par la ruse.
Et les balises, dans la nuit grise,
Regroupaient tous les Canadiens,
Tandis qu’à Sainte-Mère-Eglise,
Avançaient les américains.
Ils sont tombés du ciel
Comme s’ils avaient des ailes,
lls apportaient un air de liberté.
Ils venaient de Géorgie,
De l’Iowa, du Kentucky
Le jour le plus long les attendait ici.
Soldats des armées alliées
Tous unis pour nous délivrer,
Sur la Normandie,
Se levait le Jour J.
La vieille Louise était assise,
Elle réchaufait ses pauvres mains.
Lorsque dans Sainte-Mère-Eglise
Sont entrés les Américains.
Ils sont tombés du ciel
Comme s’ils avaient des ailes,
Ils apportaient un air de liberté.
Soldats des armées alliées
Tous unis pour nous délivrer.
Sur la Normandie,
Faut jamais oublier...
Qu’un jour à Sainte-Mère-Eglise,
Sont entrés les Américains !
non, il ne faut jamais les oublier,
ni les américains, ni les anglais, ni les canadiens, ni les écossais, ni les irlandais, ni les Australiens...
mais n'oublions pas non plus tous les africains qui étaient intégrés aux troupes françaises ou de la libération et qui ont chèrement payés le tribu à la France.